Algérie : abolition des privilèges pour l’ex-épouse de Bouteflika à Paris
Peu de temps après son arrivée en France, en octobre 2020, l’ambassadeur d’Algérie Antar Daoud a mis fin aux privilèges dont bénéficiaient certaines personnalités de l’ancien régime, dont l’ex-femme du président déchu.
![L’ancien président Abdelaziz Bouteflika, en février 2012. © FAROUK BATICHE/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/03/02/jad20210302-conf-algerie-proches-bouteflika.jpg)
L’ancien président Abdelaziz Bouteflika, en février 2012. © FAROUK BATICHE/AFP
Selon nos informations, l’ancienne épouse d’Abdelaziz Bouteflika, Amel Triki, ne fait plus partie du personnel diplomatique accrédité à l’ambassade d’Algérie en France, située au 50 rue de Lisbonne. Rappelée à l’automne 2019 au lendemain de la fin officielle de ses fonctions, elle n’avait pas souhaité quitter Paris, où elle s’était installée en 2001, après avoir été nommée secrétaire aux Affaires étrangères, avec des émoluments mensuels supérieurs à 5 400 euros.
Immunité, plaque diplomatique et loyer modéré
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