Le 1er juillet 1994, des commandos de marine de l’armée française interviennent à Butare, au Rwanda. © MONTAGE JA : José Nicolas/Hans Lucas via AFP
Le 1er juillet 1994, des commandos de marine de l’armée française interviennent à Butare, au Rwanda. © MONTAGE JA : José Nicolas/Hans Lucas via AFP

Rwanda : la France peut-elle être accusée de « complicité de génocide » ? 

Dans son rapport, la Commission Duclert écarte cette hypothèse. Mais pour la juriste Rafaëlle Maison, le constat des historiens doit être relativisé.
MEHDI-BA_2024

Publié le 8 mars 2024 Lecture : 12 minutes.

Des soldats français participant à l’opération Turquoise lors d’une patrouille en juin 1994, croisant des troupes hutues des forces gouvernementales rwandaises s’entraînant avec des bâtons, près de Gisenyie. © MONTAGE JA : Pascal GUYOT/AFP
Issu de la série

Génocide des Tutsi au Rwanda : et soudain, l’horreur

Le 7 avril 1994, au lendemain de l’attentat ayant coûté la vie au président Juvénal Habyarimana, le Rwanda a basculé dans le génocide. Témoignages, analyses, enquêtes… Jeune Afrique vous propose une plongée dans ses archives.

Sommaire

Nous republions cet article dans le cadre de notre série « SCXW182471885 BCX0">Génocide des Tutsi au Rwanda : et soudain, l’horreur », à la veille des cérémonies commémorant les trente ans du génocide des Tutsi au Rwanda, qui débuteront le 7 avril 2024 à Kigali. Il avait initialement été publié le 29 mars 2021.BCX0" data-ccp-props="{}"> 

C’est une question qui hante depuis près de 27 ans les parties prenantes au dossier – hautement sensible

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

Dans la même série

Agathe Habyarimana, la veuve du président rwandais dont l’assassinat a déclenché le génocide de 1994, le 30 avril 2014 à Paris. © MONTAGE JA : BERTRAND GUAY/AFP
Génocide des Tutsi au Rwanda : et soudain, l’horreur EP. 2

Agathe Habyarimana, la « veuve noire » du Rwanda