Algérie : Saïd Bouteflika nie toute implication dans le financement de la campagne pour le 5e mandat
Le frère cadet de l’ex-président algérien l’assure : il ne sait rien du financement de la campagne pour le cinquième mandat.
![Principal « donneur d’ordre »,Saïd Bouteflika (à g.). Ici avec son frère Abdelaziz, ex-chef de l’État. © SAMIR SID](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/09/24/45885hr_.jpg)
Principal « donneur d’ordre »,Saïd Bouteflika (à g.). Ici avec son frère Abdelaziz, ex-chef de l’État. © SAMIR SID
Les convocations devant un juge d’instruction ont ceci de bon pour les prisonniers qu’elles leur permettent de briser la monotonie de la vie carcérale. C’est le cas pour Saïd Bouteflika, frère du président déchu et ancien puissant conseiller à la présidence, incarcéré depuis le 3 janvier dernier à la prison d’El Harrach, dans la banlieue Est d’Alger.
Lundi 12 avril, Saïd Bouteflika a été extrait
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus
- Au Gabon, bars et discothèques peinent encore à passer la nuit
- Photographie : 1904, l’horreur de la colonisation du Congo dans l’objectif de la missionnaire Alice Seeley Harris
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Achille Mbembe : « En France, la parole raciste a cessé d’être considérée comme scandaleuse »