Les énergies renouvelables, le pari « résilient » de Herbert Smith Freehills en Afrique

Solaire, éolien, hydraulique, géothermie… Le cabinet d’avocats veut accélérer sur le segment des énergies propres sur le continent, marché prometteur mais semé d’embûches.

Les équipes de HSF à Paris. De g. à dr. : Rebecca Major, Frédéric Bouvet, Christophe Lefort, Paul Morton, Nina Bowyer, Bertrand Montembault, Sharif Abousaada et Mathias Dantin. © Studio Puyfontaine

Les équipes de HSF à Paris. De g. à dr. : Rebecca Major, Frédéric Bouvet, Christophe Lefort, Paul Morton, Nina Bowyer, Bertrand Montembault, Sharif Abousaada et Mathias Dantin. © Studio Puyfontaine

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Publié le 16 juin 2021 Lecture : 4 minutes.

« La bonne nouvelle, c’est que les arguments en faveur de l’énergie propre en Afrique n’ont jamais été aussi convaincants qu’aujourd’hui », expliquait début 2021 Vera Songwe, secrétaire exécutive de la Commission économique pour l’Afrique de l’ONU, citant la hausse de la demande d’énergie due à la « croissance démographique, à l’urbanisation croissante, à l’industrialisation et au commerce, ainsi qu’au changement climatique ».

Une étude du Fonds monétaire international, publiée en 2020, anticipait une consommation d’environ 100 exajoules (28 milliards de mégawattheures) d’énergie solaire en Afrique à l’horizon 2100, soit cinq fois la consommation électrique totale du continent en 2020. Et ce sans compter les contributions de l’éolien, du géothermique et de l’hydroélectricité.

Transition énergétique

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