Affaire Pegasus-Maroc : l’Unesco a-t-elle financé l’enquête ?
Des documents internes révèlent que l’institution internationale dirigée par Audrey Azoulay a répondu favorablement à une demande de subvention de la part de Forbidden Stories.
![Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco, à Paris, en 2017 © Vincent Fournier/JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2020/05/18/jad20200518-cm-audreyazoulay.jpg)
Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco, à Paris, en 2017 © Vincent Fournier/JA
Le ministère marocain des Affaires étrangères en est persuadé et s’apprête à le faire savoir à la directrice générale de l’Unesco à Paris, Audrey Azoulay (par ailleurs fille d’André Azoulay, conseiller du roi Mohammed VI) : la Division de la liberté d’expression et du développement des médias de cette institution, que dirige le Sud-Africain Guy Berger, aurait participé financièrement à l’enquête de Forbidden Stories mettant directement en cause les services de sécurité marocains dans l’utilisation tous azimuts du logiciel espion Pegasus (utilisation que Rabat dément).
Versement en trois tranches
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