Covid-19 : les États-Unis redoutent une Assemblée générale de l’ONU « super-contaminatrice »
Face à la multiplication des cas de coronavirus, les États-unis ont exprimé dans une note diplomatique leurs inquiétudes sur la tenue de la 76e Assemblée générale des Nations unies à New York.
![António Guterres lors de sa prestation de serment devant le président de l’Assemblée générale, Peter Thomson, au siège de l’ONU, à New York, le 12 décembre 2016. © Lucas Jackson/Reuters](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/08/17/jad20210817conf_onu.jpg)
António Guterres lors de sa prestation de serment devant le président de l’Assemblée générale, Peter Thomson, au siège de l’ONU, à New York, le 12 décembre 2016. © Lucas Jackson/Reuters
Face à la recrudescence des cas de Covid-19 sur leur territoire, notamment dans l’État de New York, les États-Unis ont adressé une note diplomatique, via leur mission auprès de l’ONU, à toutes les délégations étrangères de l’Assemblée générale des Nations unies (Agnu), qui compte 193 États membres.
Dans ce document de trois pages que Jeune Afrique a pu consulter, Washington fait part de ses inquiétudes et émet des réserves quant à la tenue de la 76e Agnu, censée s’ouvrir le 14 septembre prochain.
La menace Delta
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