Hôtellerie : l’EHL exporte en Afrique son savoir-faire cinq étoiles
Créée il y a près de 130 ans, l’École hôtelière de Lausanne, réputée la meilleure du monde, multiplie les partenariats en Afrique. Afin de renforcer son empreinte internationale mais aussi de susciter des vocations sur un continent où « l’hospitalité est un trésor ».
![Le campus de l’EHL, situé à Chalet-à-Gobet, à quelques kilomètres de Lausanne, accueille 3 000 étudiants de 90 nationalités différentes. © Gunter Fischer/Education Images/Universal Images Group via Getty Images](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/06/29/jad20210629-inter-suisse-afrique-ecole-hoteliere-lausanne.jpg)
Le campus de l’EHL, situé à Chalet-à-Gobet, à quelques kilomètres de Lausanne, accueille 3 000 étudiants de 90 nationalités différentes. © Gunter Fischer/Education Images/Universal Images Group via Getty Images
Fondée à la fin du XIXe siècle, l’École hôtelière de Lausanne (EHL) est le plus ancien établissement de formation aux métiers de l’hôtellerie et de la restauration au monde et occupe régulièrement le premier rang des classements internationaux.
Son campus situé à Chalet-à-Gobet, à quelques kilomètres de Lausanne, accueille 3 000 étudiants de 90 nationalités différentes mais aussi un restaurant étoilé, le Berceau des sens.
Une africanisation en marche
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Au Gabon, bars et discothèques peinent encore à passer la nuit
- Photographie : 1904, l’horreur de la colonisation du Congo dans l’objectif de la missionnaire Alice Seeley Harris
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Achille Mbembe : « En France, la parole raciste a cessé d’être considérée comme scandaleuse »