Akinwumi Adesina (BAD) : « L’agriculture est le plus grand business d’Afrique »

L’ACTU VUE PAR. Chaque samedi, Jeune Afrique invite une personnalité à décrypter des sujets d’actualité. Climat, résilience, agriculture et financements, le président de la Banque africaine de développement livre son regard sur les dernières actualités du continent.

Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, le 10 novembre 2021, à Paris. © Damien Grenon pour JA

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Publié le 20 novembre 2021 Lecture : 6 minutes.

La tournée dans la « Vieille Europe » du président de la Banque africaine de développement (BAD) a largement donné le ton de son second mandat. « Être partout là où la cause de l’Afrique doit être plaidée », explique Akinwumi Adesina, de retour de la Conférence internationale sur les changements climatiques (COP26) de Glasgow. Lui qui était arrivé à Rome début octobre déjà, où il a délivré une « keynote » au Sénat italien devant les représentants des pays du G20.

Descendu dans le même hôtel parisien que la vice-présidente américaine, Kamala Harris, avec laquelle il doit se rendre le soir même à une réception à l’Élysée, à l’invitation du président français, il prépare son intervention du lendemain pour le Forum de Paris sur la paix.

Entre deux rendez-vous, et la signature d’un accord avec son homologue de l’Agence française de développement (AFD), Rémy Rioux, l’ancien ministre nigérian de l’Agriculture (2011-2015) expose à Jeune Afrique les préoccupations de l’institution qu’il dirige et sa vision des sujets chauds du moment pour l’Afrique.

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