Algérie : l’opposition dans le viseur des autorités
Placement sous contrôle judiciaire de Mohcine Belabbas (RCD), condamnation de Fethi Ghares (MDS) à de la prison ferme… La pression s’accentue sur les partis d’opposition algériens.
![Mohcine Belabbas, leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), le 25 septembre 2020, au siège du parti, à Alger. © RYAD KRAMDI/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/01/11/jad20220111-mmo-algerie-opposition-belabbas.jpg)
Mohcine Belabbas, leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), le 25 septembre 2020, au siège du parti, à Alger. © RYAD KRAMDI/AFP
Le parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) serait-il dans le viseur des autorités ? Tout semble l’indiquer si l’on en juge par la multiplication des procédures administratives et judiciaires engagées contre cette formation politique de l’opposition. Dernière en date : le placement sous contrôle judiciaire, le 10 janvier, de son président, Mohcine Belabbas, par le juge d’instruction près le tribunal de Hussein Dey, à Alger. Il avait reçu la veille une convocation pour une audition.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Au Gabon, bars et discothèques peinent encore à passer la nuit
- Photographie : 1904, l’horreur de la colonisation du Congo dans l’objectif de la missionnaire Alice Seeley Harris
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Achille Mbembe : « En France, la parole raciste a cessé d’être considérée comme scandaleuse »