Algérie : l’opposition dans le viseur des autorités

Placement sous contrôle judiciaire de Mohcine Belabbas (RCD), condamnation de Fethi Ghares (MDS) à de la prison ferme… La pression s’accentue sur les partis d’opposition algériens.

Mohcine Belabbas, leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), le 25 septembre 2020, au siège du parti, à Alger. © RYAD KRAMDI/AFP

Mohcine Belabbas, leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), le 25 septembre 2020, au siège du parti, à Alger. © RYAD KRAMDI/AFP

Publié le 11 janvier 2022 Lecture : 5 minutes.

Le parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) serait-il dans le viseur des autorités ? Tout semble l’indiquer si l’on en juge par la multiplication des procédures administratives et judiciaires engagées contre cette formation politique de l’opposition. Dernière en date : le placement sous contrôle judiciaire, le 10 janvier, de son président, Mohcine Belabbas, par le juge d’instruction près le tribunal de Hussein Dey, à Alger. Il avait reçu la veille une convocation pour une audition.

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