Maroc : entre Vahid Halilhodzic et Hakim Ziyech, une brouille à rebondissements
Le sélectionneur des Lions de l’Atlas ne pardonne pas à la star une attitude qu’il juge désinvolte. La star ne pardonne pas au sélectionneur ses attaques dans les médias. En coulisses, la Fédération de football tente de réconcilier les deux hommes.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/03/14/jad20220314-mmo-maroc-ziyech-halilhodzic-1256x628-1647256864.jpg)
Hakim Ziyech et Vahid Halilhodzic. © Montage JA; Ronan Houssin/Panoramic ; Dave Shopland/Shutterstock/SIPA
Une sélection nationale qui ambitionne de participer à une Coupe du monde peut-elle se passer de l’un de ses meilleurs joueurs ? Pour Vahid Halilhodzic, la réponse est OUI. « Aimé Jacquet en 1998 et Didier Deschamps en 2018 ont été champions du monde en se privant de grands joueurs [Éric Cantona, David Ginola et Jean-Pierre Papin en 1998, Karim Benzema en 2018, ndlr]. Je ne suis donc pas le premier à le faire », a récemment déclaré Vahid Halilhodzic à propos de Hakim Ziyech.
Entre le sélectionneur bosnien du Maroc, 69 ans, et le milieu de terrain de Chelsea (Angleterre), 28 ans, le dialogue est rompu. Mais les ponts ne sont pas coupés. Absent lors de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) au Cameroun, Ziyech a annoncé, le 8 février, sa retraite internationale.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Au Gabon, bars et discothèques peinent encore à passer la nuit
- Photographie : 1904, l’horreur de la colonisation du Congo dans l’objectif de la missionnaire Alice Seeley Harris
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Achille Mbembe : « En France, la parole raciste a cessé d’être considérée comme scandaleuse »