Bénin : le groupe de travail de l’ONU réclame la libération de Reckya Madougou
Le groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies a réclamé la remise en liberté de l’opposante et ex-ministre, condamnée en décembre dernier à vingt ans de prison pour « financement du terrorisme ».
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/11/07/jad20221107-confidentiel-benin-reckya-madougou-1256x628-1667840381.jpg)
Portrait de Reckya Madougou.© Clement Tardif Portrait de Reckya Madougou. © Clement Tardif
Les termes de l’avis rendu le 2 novembre par le groupe de travail sur la détention arbitraire de l’ONU et dont JA pris connaissance sont sans ambiguïté : l’organisme onusien juge que « la privation de liberté de Reckya Madougou est arbitraire ». Il demande donc au gouvernement béninois de « libérer immédiatement » l’opposante béninoise qui s’était lancée dans la course à la présidentielle d’avril 2021 face à Patrice Talon avant de voir sa candidature rejetée par la Commission électorale nationale autonome, faute d’un nombre suffisant de parrainages.
Sans « base légale »
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Sanctionné par la CAF, Samuel Eto’o échappe au pire
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Entre le Gabonais Oligui Nguema et ses voisins, tout va presque bien
- Sonangol obtient le feu vert d’Alassane Ouattara pour la vente de ses parts dans la SIR
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux