Cameroun : la filière transformation peine à sortir du bois

Alors que l’interdiction d’exporter des grumes est maintenue au 1er janvier 2023 en zone Cemac, le Cameroun ne parvient pas à enclencher la dynamique pour transformer complètement ses essences.

Train de grumes vers Yaoundé. © Renaud VAN DER MEEREN/EDJ

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Publié le 15 décembre 2022 Lecture : 4 minutes.

L’unanimité n’est que de façade à quelques jours de l’échéance. Les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) doivent en principe arrêter d’exporter des grumes à compter du 1er janvier 2023. Suivant le Gabon qui a une décennie d’avance, le Congo a décidé de franchir le pas. Il en est tout autre du Cameroun, de la Guinée équatoriale et de la Centrafrique qui ont sollicité une interdiction étalée sur deux ans.

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