David Malpass et l’Afrique, quatre ans d’une relation difficile
Proche de Donald Trump, accusé de climato-scepticisme ou, parfois, d’être un adversaire du multilatéralisme, David Malpass quittera ses fonctions à la tête de la Banque mondiale en juin, soit un an avant la fin de sa mission. Au bout de ses quatre années de mandat, quel est le bilan de l’institution en Afrique ?
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David Malpass, le président de la Banque mondiale, au siège du FMI, à Washington, le 12 octobre 2022. © Brendan Smialowski / AFP
« Tout au long de son mandat, David Malpass a concentré ses efforts sur la recherche de politiques plus vigoureuses, destinées à dynamiser la croissance économique, à réduire la pauvreté, à améliorer le niveau de vie des populations et à réduire le fardeau de la dette publique », a salué la Banque mondiale (BM) dans un communiqué publié le 16 février.
Même si les motifs de la démission de David
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