« Le jour où Mamadi Doumbouya m’a chassé de chez moi », par Cellou Dalein Diallo

Le 28 février 2022, le président de l’UFDG était contraint de quitter sa résidence de Dixinn, à Conakry, acquise lorsqu’il était membre du gouvernement. Un épisode douloureux qu’il raconte à Jeune Afrique.

Cellou Dalein Diallo à Conakry, le 18 février 2016. © Sylvain Cherkaoui pour JA

Aïssatou Diallo.

Publié le 6 mai 2023 Lecture : 3 minutes.

C’était le 28 février 2022. Ce jour-là, le chef d’état-major des armées, le colonel Sidiba Koulibaly, et le haut commandant de la gendarmerie, Balla Samoura, sont venus pour me faire sortir de ma maison. Ils étaient accompagnés de 30 bérets rouges, armés jusqu’aux dents ! Heureusement, j’étais déjà parti. J’avais laissé les clés à quelqu’un et l’huissier n’a pu que constater que j’avais quitté les lieux.

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