Crise au Soudan : de Djibouti à Addis-Abeba, la diplomatie de la dernière chance

L’Union africaine, Djibouti, le Kenya et le Soudan du Sud sont en première ligne pour organiser une médiation dans le conflit qui oppose Abdel Fattah al-Burhane et Mohamed Hamdan Dagalo au Soudan. Coulisses.

Sommet de l’IGAD,l’autorité est-africaine pour le développement, à Nairobi, le 5 juillet 2022. © State House Kenya

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Publié le 20 avril 2023 Lecture : 3 minutes.

Alors que les combats ont éclaté le 15 avril à Khartoum et dans le reste du Soudan entre les partisans du président Abdel Fattah al-Burhane et ceux de son numéro deux et rival Mohamed Hamdan Dagalo, dit « Hemetti », les tentatives de médiation se mettent en place dans la sous-région.

Réunie dès l’après-midi du 16 avril en sommet extraordinaire virtuel, à l’initiative de son secrétaire exécutif, l’Éthiopien Workneh Gebeyehu, l’Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) est, entre autres, en première ligne.

Un trio de présidents en attente

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