Au Ghana, pas de transition énergétique sans le secteur privé
Au-delà de ses partenaires habituels, Accra devra assurer des conditions favorables à l’investissement privé pour mener à bien son ambitieux plan de décarbonation.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/04/20/jad20230420-eco-ghana-nana-akufo-addo-1256x628-1682064915.jpg)
Le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, à la conférence Investing in African Mining Indaba au Cap, le 5 février 2019. © REUTERS/Mike Hutchings
Pas de transition énergétique sans secteur privé. Et pas de secteur privé sans régime fiscal favorable. C’est cette équation que le Ghana va devoir résoudre pour assurer le succès de la campagne de décarbonation de son énergie qu’il s’apprête à lancer pour un montant de 562 milliards de dollars d’investissements au cours des cinq prochaines décennies. Un plan de financement qui ne pourra être bouclé sans le secteur privé.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Sanctionné par la CAF, Samuel Eto’o échappe au pire
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Entre le Gabonais Oligui Nguema et ses voisins, tout va presque bien
- Sonangol obtient le feu vert d’Alassane Ouattara pour la vente de ses parts dans la SIR
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux