Meurtre de Chérubin Okende : les coulisses d’une enquête sous pression
Alors que les investigations sur le meurtre de l’ancien ministre débutent à peine, Moïse Katumbi, qui dénonce un « assassinat politique », multiplie les rencontres avec les diplomates. Le gouvernement, qui a promis d’associer des « pays amis », s’active aussi pour solliciter de l’aide.
Six jours après le décès de l’ancien ministre Chérubin Okende, qui était aussi porte-parole du parti de l’opposant Moïse Katumbi, la tension peine à redescendre à Kinshasa. Informé par le secrétaire général d’Ensemble pour la République, 700 !important">Dieudonné Bolengetenge, l’ancien gouverneur du Katanga a quitté Abidjan où il se trouvait au moment des faits. S’il n’a pas hésité à dénoncer, depuis la Côte d’Ivoire, « un assassinat politique », il mène depuis son retour en RDC un marathon diplomatique.
Katumbi se tourne vers la Monusco
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