Comment le dirham s’adapte aux besoins des Marocains de l’étranger
Au Maroc, l’échange des devises reste très encadré. Mais, pour répondre à la mobilité croissante des Marocains à l’international, le royaume assouplit progressivement sa législation et libéralise les opérations de change.
Au Maroc, c’est peu dire que les transferts d’argent vers l’étranger sont réglementés. Étudiants internationaux, touristes, hommes d’affaires, Marocains de la diaspora… Tous ont été confrontés, à un moment donné, à la politique stricte qui encadre les sorties de devises marocaines hors du pays.
Car à l’inverse de l’euro ou du dollar, et par crainte d’une pénurie, le dirham n’est pas une monnaie librement convertible. Cependant, une incontestable dynamique de libéralisation esquissée dans les années 1980 est à l’œuvre, pour faciliter son intégration à l’économie mondiale.
Du « sur-mesure » pour les étudiants
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La recette gagnante des boulangeries Paul en Afrique
- Maroc : Othman Benjelloun bloque deux nouvelles approches sur Bank of Africa
- Après l’Afrique, le tunisien SAH-Lilas à la conquête de l’Europe
- L’entourage de Jean Kacou Diagou, fondateur de NSIA : famille, étoiles montantes e...
- RDC : ce que l’on sait d’Air Congo, le futur pavillon national