En Centrafrique, que peut faire l’opposition après le « oui » au référendum ?
La Cour constitutionnelle a validé le 21 août la victoire du « oui » lors du référendum constitutionnel organisé le 30 juillet. Une nouvelle bataille perdue pour l’opposition, qui va devoir se trouver de nouveaux objectifs.
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Les bulletins de vote pour le référendum constitutionnel du 30 juillet 2023 en Centrafrique, ici au lycée Boganda de Bangui. © Barbara DEBOUT / AFP
Les opposants l’avaient martelé : ils ne laisseraient pas le président Faustin Archange Touadéra modifier la Constitution. Sauf que, depuis le lundi 21 août, la Cour constitutionnelle a validé, sans surprise, la victoire du « oui » au référendum constitutionnel du 30 juillet dernier. Le chef de l’État centrafricain a donc désormais toute latitude légale pour modifier le texte fondamental de son pays – et lever au passage la limite de mandats présidentiels qui y figurait jusqu’ici.
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