Ali, Pascaline et Sylvia : chez les Bongo, des querelles de famille au coup d’État ?
L’opposant gabonais Albert Ondo Ossa l’affirme : Pascaline Bongo Ondimba serait la donneuse d’ordre du coup d’État ayant renversé son frère, Ali Bongo Ondimba. Un scénario que n’étaye aucune preuve pour le moment, mais qui s’appuie sur une réalité : chez les Bongo Ondimba, l’unité familiale n’était pas de mise.
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De gauche à droit : Ali Bongo, Omar Denis Junior, Yacine et Pascaline Bongo lors des funérailles du défunt président gabonais Omar Bongo Ondimba, à Libreville, le 15 juin 2009. © ISSOUF SANOGO/AFP
Son ombre plane désormais sur Libreville, où son frère, Ali Bongo Ondimba, a été « mis à la retraite » ce 30 août par le général et commandant en chef de la garde républicaine, Brice Clotaire Oligui Nguema. Accusée par l’opposant Albert Ondo Ossa d’avoir orchestré le coup d’État – une « révolution de palais », selon lui –, Pascaline Bongo Ondimba ne s’est pas exprimée officiellement, comme souvent.
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