Pourquoi la fusion Veolia-Suez au Maroc se grippe un peu plus
Le géant français de l’eau et de la gestion des déchets se voit adresser un ultimatum d’un mois par le régulateur marocain pour revendre Lydec, ex-filiale de Suez. Mais pour ce faire, il a besoin d’une autorisation qui ne vient pas. Une situation inextricable.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/06/jad20231006-eco-maroc-veolia-lydec-photo3-1256x628-1696590843.jpg)
Station d’épuration des eaux usées de Lydec à Mediouna, Grand Casablanca, Maroc. © Abdelhak SENNA/REA.
Trente jours. C’est le délai dont dispose Veolia pour céder la Lyonnaise des eaux de Casablanca (Lydec), ex-filiale marocaine de Suez chargée de la distribution d’eau et d’électricité, de la collecte des eaux usées et pluviales et de l’éclairage public.
Ultimatum
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus
- Au Gabon, bars et discothèques peinent encore à passer la nuit
- Photographie : 1904, l’horreur de la colonisation du Congo dans l’objectif de la missionnaire Alice Seeley Harris
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Achille Mbembe : « En France, la parole raciste a cessé d’être considérée comme scandaleuse »