Pour l’armée malienne, la prise de Kidal passe aussi par Tessalit
Après avoir conquis Anéfis, l’armée malienne prépare la bataille de Tessalit. Une étape stratégique dans la reconquête du Nord et, surtout, de Kidal, bastion des rebelles touaregs.
![Un casque bleu à Aguelhoc, entre Kidal et Tessalit, dans le nord du Mali, 25 février 2019. © MINUSMA/Marco Dormino](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/02/25/47018735302_dc85791171_z.jpg)
Un casque bleu à Aguelhoc, entre Kidal et Tessalit, dans le nord du Mali, 25 février 2019. © MINUSMA/Marco Dormino
L’objectif est autant militaire qu’il est politique. Depuis son accession au pouvoir par la force, en mai 2021, Assimi Goïta s’y est préparé. D’abord, la junte a joué le pourrissement dans les relations déjà fragiles qui la liaient au mouvements rebelles du Nord. Puis elle a engagé les combats. Depuis août, l’accord de paix qui faisait office de cessez-le-feu entre les deux parties a volé en éclat et la reconquête du Nord par l’armée malienne est en marche.
Convoi militaire
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