Claude Pivi, l’homme le plus recherché de Guinée
Une semaine après son évasion spectaculaire de la Maison centrale de Conakry, ce militaire mis en cause dans le massacre du 28 septembre 2009 court toujours. Sa tête est désormais mise à prix par les autorités guinéennes.
![Le capitaine Claude Pivi, alias Coplan, ici en octobre 2009. © SEYLLOU DIALLO/AFP.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5015x0.2330/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/09/jad20231109-guinee-claude-pivi-fugitif.jpg)
Le capitaine Claude Pivi, alias Coplan, ici en octobre 2009. © SEYLLOU DIALLO/AFP.
Un demi-milliard de francs guinéens (environ 55 000 euros) : c’est l’offre – conséquente – du ministère de la Justice à celui ou celle « qui aura aidé ou facilité l’arrestation de monsieur Claude Pivi en donnant des indications précises aux autorités judiciaires sur sa position exacte ». Un numéro vert, le 1015, a aussi été mis en place par les autorités pour faciliter sa traque.
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