Au Togo, Faure Essozimna Gnassingbé face au péril jihadiste
Confronté à la menace venue du Burkina Faso, le président togolais tente de verrouiller sa frontière nord. Avec pour le moment un succès relatif, en dépit des pertes récemment annoncées, et dans la plus grande discrétion.
![Faure Essozimna Gnassingbé, lors d’une visite à l’hôpital militaire de Namoundjoga, un village du nord du pays, en février 2020. © PIUS UTOMI EKPEI/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.3519x0.2602/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/22/jad20231122-ass-togo-gnassingbe-nord-01.jpg)
Faure Essozimna Gnassingbé, lors d’une visite à l’hôpital militaire de Namoundjoga, un village du nord du pays, en février 2020. © PIUS UTOMI EKPEI/AFP
Il n’est pas du genre à s’épancher. Encore moins lorsqu’il s’agit d’évoquer la menace qui déstabilise son pays depuis deux ans. Alors, quand Faure Essozimna Gnassingbé s’exprime publiquement sur la situation sécuritaire préoccupante dans le nord du Togo, beaucoup tendent une oreille attentive.
« Au bout, la victoire »
Le 27 avril dernier, jour de la fête de l’Indépendance, le président a choisi de
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