Pour les avocats couvrant l’Afrique, Dubaï n’est pas encore une destination prisée
À la différence des entreprises, les avocats spécialistes du continent continuent pour l’instant de miser sur Paris, Londres ou Casablanca, même quand leurs cabinets sont aussi présents dans l’émirat.
![Des gratte-ciel surplombent la marina de Dubaï, aux Émirats arabes unis, le 19 décembre 2023. © Kabir Jhangiani / NurPhoto via AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/12/22/jad20231222-eco-avocats-dubai.jpg)
Des gratte-ciel surplombent la marina de Dubaï, aux Émirats arabes unis, le 19 décembre 2023. © Kabir Jhangiani / NurPhoto via AFP
C’est ce qui pourrait être appelé un faux départ ou une bulle. Les cabinets d’avocats d’affaires anglo-saxons ont investi les Émirats arabes unis pour la plupart depuis de nombreuses années. Reed Smith a fait partie des précurseurs en s’installant dès 1978 à Abu Dhabi, puis en 2006 à Dubaï. Allen & Overy, Ashurst, Bird & Bird ou bien encore les firmes Dentons et Clifford Chance leur ont emboîté le
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