En Éthiopie, Orange et e& s’accrochent à une privatisation qui patine
Malgré l’intérêt de nombreux opérateurs comme Orange, Axian, MTN, e&, Zain ou Veon, les autorités d’Addis-Abeba ont décidé d’abandonner le processus de livraison d’une seconde licence d’opérateur privé, tandis qu’Ethiotel ne semble pas prêt à céder facilement 45 % de ses parts.
![Dans un centre d’appels d’Ethio Telecom à Addis-Abeba. © Tiksa Negeri / REUTERS.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4734x0.3385/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/12/07/jad20231207-eco-telecom-ethiopie-privatisation.jpg)
Dans un centre d’appels d’Ethio Telecom à Addis-Abeba. © Tiksa Negeri / REUTERS.
Ces jours-ci, la nouvelle agite la scène africaine des télécoms. Orange aurait décidé d’abandonner ses négociations sur le rachat de 45 % du capital d’Ethio Telecom, l’acteur historique et numéro un des télécoms au pays d’Haïlé Sélassié. Pourtant, il n’en n’est rien.
D’après une source bien informée contactée par Jeune Afrique, le groupe français aux plus de 40 milliards d’euros de chiffre
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