Au Maroc, la réforme du code de la famille dans sa dernière ligne droite
Il aura fallu que Mohammed VI fixe un délai pour que le gouvernement Akhannouch se penche sérieusement sur la réforme de la Moudawana, annoncée depuis son entrée en fonction.
![Préparation de la manifestation féministe du 12 mars 2023 à Casablanca. © Milla Morisson/Hans Lucas via AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/12/22/jad20231222-mmo-maroc-reforme-moudawana.jpg)
Préparation de la manifestation féministe du 12 mars 2023 à Casablanca. © Milla Morisson/Hans Lucas via AFP
Le 26 septembre dernier, le roi Mohammed VI a donné au gouvernement un délai de six mois pour pondre une réforme du Code de la famille. Le texte qui « a représenté un véritable bond en avant » et dont il avait conduit le relifting en 2004, « ne suffit plus en tant que tel », avait-il alors déclaré. Depuis, l’exécutif, particulièrement le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, met les bouchées
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