Présidentielle au Sénégal, mode d’emploi
Quelque 90 candidats ont déposé leur dossier de candidature avant la limite du 26 décembre. Le Conseil constitutionnel a jusqu’au 12 janvier pour les examiner.
![Élections présidentielles sénégalaises dans un bureau de vote à Thiès, le 24 février 2019. © MICHELE CATTANI/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/12/27/jad20231227-ass-senegal-elections-mode-d-emploi.jpg)
Élections présidentielles sénégalaises dans un bureau de vote à Thiès, le 24 février 2019. © MICHELE CATTANI/AFP
Aux douze coups de minuit, dans la nuit du 26 au 27 décembre, s’est clôt officiellement le premier acte d’une élection présidentielle sénégalaise jusqu’ici marquée par le surnombre. Si la liste des candidats autoproclamés a fondu, à l’heure du dépôt des dossiers devant le Conseil constitutionnel, le décompte n’en reste pas moins démesuré pour un pays comptant quelque 7 millions d’inscrits sur les
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Au Gabon, bars et discothèques peinent encore à passer la nuit
- Photographie : 1904, l’horreur de la colonisation du Congo dans l’objectif de la missionnaire Alice Seeley Harris
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Achille Mbembe : « En France, la parole raciste a cessé d’être considérée comme scandaleuse »