L’Algérie déterminée à intégrer les Brics, que l’Égypte et l’Éthiopie viennent de rejoindre
Alors que Le Caire et Addis-Abeba ont intégré le groupe le 1er janvier, l’administration d’Abdelmadjid Tebboune, éconduite en septembre, espère toujours rebondir ailleurs. Elle lorgne désormais l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et tente d’intégrer la banque des Brics.
![Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, reçu par le chef de l’État chinois, Xi Jinping, au Palais du peuple, à Pékin, le 18 juillet 2023. © Ng Han Guan/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4001x0.6211/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/04/jad20240104-eco-algerie-brics-tebboune-chine.jpg)
Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, reçu par le chef de l’État chinois, Xi Jinping, au Palais du peuple, à Pékin, le 18 juillet 2023. © Ng Han Guan/AP/SIPA
Après une tentative infructueuse d’intégration au groupe des Brics (le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, jusqu’au 1er janvier 2024), l’Algérie reste en quête d’alliance stratégique a réitéré, à la fin du mois août, sa volonté d’intégrer l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS).
Ce redéploiement s’inscrit dans ce que le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed
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