Présidentielle au Sénégal : ce qu’il faut retenir de l’examen des parrainages
21 candidats sur 93 ont passé la première étape de validation de leurs dossiers. L’opposition dénonce les écueils du système de parrainages citoyens.
![Le président sénégalais, Macky Sall (centre), et le Premier ministre Amadou Ba, après la désignation de ce dernier comme candidat du PDS à l’élection présidentielle de février 2024, à Dakar, le 21 décembre 2023. © Seyllou / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.3623x0.3974/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/10/jad20240110-ass-senegal-elections.jpg)
Le président sénégalais, Macky Sall (centre), et le Premier ministre Amadou Ba, après la désignation de ce dernier comme candidat du PDS à l’élection présidentielle de février 2024, à Dakar, le 21 décembre 2023. © Seyllou / AFP
Le Conseil constitutionnel a procédé à un premier écrémage, et il est – a priori – irréversible. Sur les 93 personnalités qui avaient déposé un dossier de candidature, 21 ont validé leurs parrainages, dont deux femmes : la femme d’affaires Anta Babacar Ngom et Rose Wardini, membre de la société civile. Selon le code électoral, les aspirants à la magistrature suprême devaient présenter au Conseil
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