Gérald Darmanin, le Maroc et les « imams détachés »

Le ministre français de l’Intérieur a annoncé, fin décembre, que la France n’accueillerait plus d’imams envoyés par des pays étrangers, principalement le Maroc, l’Algérie et la Turquie. Dans le cas du royaume, ces détachements avaient pourtant cessé dès 2021.

Le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, saluant des imams à la Grande Mosquée de Paris, le 11 novembre 2023, à l’occasion de l’hommage rendu aux soldats musulmans morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale. © Thomas SAMSON / AFP

Le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, saluant des imams à la Grande Mosquée de Paris, le 11 novembre 2023, à l’occasion de l’hommage rendu aux soldats musulmans morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale. © Thomas SAMSON / AFP

Publié le 15 janvier 2024 Lecture : 4 minutes.

En France, les « imams détachés », c’est terminé. C’est ce que le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a signifié dans une lettre envoyée à Rabat, Alger et Ankara, dont le contenu a été dévoilé le 29 décembre dernier. Concrètement, ces trois pays ne pourront désormais plus dépêcher des imams en France, hors période du ramadan. Cette décision française correspond à un engagement

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