Comment la Badea a séduit les investisseurs pour son premier emprunt obligataire
Grâce à la solidité de son actionnariat et à la confiance des agences de notation, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique est parvenue à lever 500 millions d’euros en eurobond à un taux attractif.
![Le siège permanent de la Banque arabe pour le développement économique de l’Afrique (Badea), à Khartoum, au Soudan. © DR.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.3030x0.4246/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/24/jad20240124-eco-badea-nouvel-emprunt.jpg)
Le siège permanent de la Banque arabe pour le développement économique de l’Afrique (Badea), à Khartoum, au Soudan. © DR.
C’était une première pour la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea). Malgré ses cinquante ans d’existence, celle-ci n’avait jamais sollicité le marché obligataire international. C’est désormais chose faite depuis la 18 janvier. La banque multilatérale de développement, détenue par dix-huit pays membres de la Ligue arabe, a réussi une levée de fonds de 500 millions d’euros
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