Mali, Burkina Faso, Niger… La banque de la Cedeao bousculée par le retrait des trois juntes
La banque de développement régionale, qui a engagé quelques centaines de millions d’euros dans les trois pays, est désormais forcée de penser à l’après.
![Siège de la Banque d’investissement et de développement de la Cedao, à Lomé, au Togo. © Frederique Jouval pour JA.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4827x0.3912/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/30/jad20240130-eco-cedexit-financements-bidc-togo.jpg)
Siège de la Banque d’investissement et de développement de la Cedao, à Lomé, au Togo. © Frederique Jouval pour JA.
Alors que le Niger est la dernière des trois juntes sahéliennes à notifier officiellement à la Cedeao son désir de quitter l’institution, des questions se posent désormais quant à l’avenir de la Banque d’investissement et de développement de la communauté (BIDC). Comment le retrait du Niger, du Mali et du Burkina Faso dans le capital de l’institution financière régionale chargée de financer les
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