Face à Assimi Goïta, que peuvent encore les groupes armés du nord du Mali ?
Défaits militairement, chassés de leur fief historique de Kidal, les cadres de la rébellion touarègue assurent n’avoir opéré qu’un repli stratégique et être toujours prêts à en découdre avec les forces armées maliennes.
![Bilal Ag Chérif, secrétaire général du MNLA, en janvier 2024. © Michele Cattani pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.6969x0.2505/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/02/19/jad20240219-ass-mali-csp-itw-bilal-ag-cherif.jpg)
Bilal Ag Chérif, secrétaire général du MNLA, en janvier 2024. © Michele Cattani pour JA
Pour rencontrer Bilal Ag Chérif, secrétaire général du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA), mieux vaut s’armer de patience. Qualifié de « terroriste » par la junte au pouvoir à Bamako, sous le coup d’une enquête judiciaire et contraint à l’exil, le leader touareg est sans cesse en mouvement. Après des mois d’attente, rendez-vous nous est finalement donné dans une maison
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