Présidence de la BAD : qui sont les prétendants à la succession d’Akinwumi Adesina ?
Après le Tchadien Abbas Mahamat Tolli, l’ancien économiste en chef de la Banque africaine de développement, l’Algérien Rabah Arezki, prépare sa candidature et n’attend plus que le feu vert d’Alger. Mais il risque d’être confronté à d’autres profils de taille.
![Akinwumi Adesina (ici en mai 2022 à Accra), actuel président de la BAD, verra son second mandat terminer en 2025. © Nipah Dennis / AFP.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.3391x0.3519/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/03/26/jad20240326-eco-adesina.jpg)
Akinwumi Adesina (ici en mai 2022 à Accra), actuel président de la BAD, verra son second mandat terminer en 2025. © Nipah Dennis / AFP.
C’est un prétendant de plus dans une course à la succession qui ne fait que commencer. Si le second mandat du Nigérian Akinwumi Adesina aux commandes de la Banque africaine de développement (BAD) ne prendra fin que l’an prochain, les candidats à la relève, qui devront déposer leur dossier entre septembre 2024 et la fin de janvier 2025, se multiplient. Après l’annonce, à la mi-mars, de la
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