Au Maroc, faut-il s’attendre à une année blanche en médecine ?

Plus de trois mois après le début du bras de fer entre les étudiants en médecine et le gouvernement, aucune solution ne semble se profiler, si bien que c’est toute l’année universitaire qui semble menacée.

Les étudiants en médecine marocains ont décidé, mi-décembre 2023, d’entamer un boycott des cours et des examens, à l’appel de la Commission nationale des étudiants en médecine, médecine dentaire et en pharmacie (Cnemep). © DR

Les étudiants en médecine marocains ont décidé, mi-décembre 2023, d’entamer un boycott des cours et des examens, à l’appel de la Commission nationale des étudiants en médecine, médecine dentaire et en pharmacie (Cnemep). © DR

Publié le 28 mars 2024 Lecture : 5 minutes.

Les futurs médecins marocains donnent le tournis à leurs deux autorités de tutelle, le ministère de l’Enseignement supérieur et le ministère de la Santé. Le royaume compte près de 24 000 étudiants dans la discipline, répartis entre les neuf facultés de médecine publiques (Rabat, Casablanca, Marrakech, Fès, Oujda, Tanger, Agadir, Laâyoune et Guelmim), qui ont décidé, mi-décembre 2023, d’entamer un

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