Célestin Yanindji, l’homme qui veut (enfin) réveiller le football centrafricain
En pleine reconstruction, les Fauves du Bas-Oubangui se montrent de plus en plus ambitieux. Derrière les aspirations grandissantes de la sélection nationale, Célestin Yanindji, président de la Fédération centrafricaine de football, emploie tous les moyens possibles.
Le président de la Fifa, Gianni Infantino (à gauche), pose avec le président de la Fédération centrafricaine de football, Célestin Yanindji (à droite), à Bangui, le 18 février 2021. © CAMILLE LAFFONT / FIFA / AFP
Publié le 20 avril 2024 Lecture : 5 minutes.
Sur l’échiquier du football africain, la Centrafrique fait partie des pays dont on parle peu. La sélection nationale n’a jamais participé à la moindre compétition internationale et ses clubs passent rarement plus d’un tour lors de la Coupe d’Afrique des nations (CAN). Pourtant, il n’a jamais été aussi périlleux de venir jouer à Bangui et son mythique stade Barthélémy-Boganda. L’Égypte, l’Algérie,
