Présidence de la BAD : la succession d’Adesina objet de tous les pronostics à Nairobi
L’élection du prochain président de la Banque africaine de développement n’aura lieu qu’en mai 2025. Pourtant, le lobbying a déjà commencé. Coulisses.
![Akinwumi Adesina, président de la BAD, s’exprimant lors des assemblées annuelles de l’institution, à Nairobi, le 29 mai 2024. © Photo by Simon Maina / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.8298x0.1624/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/05/30/jad20240530-bad-finance-ag-coulisses-adesina.jpg)
Akinwumi Adesina, président de la BAD, s’exprimant lors des assemblées annuelles de l’institution, à Nairobi, le 29 mai 2024. © Photo by Simon Maina / AFP
Dans les couloirs du Kenyatta International Conference Centre, à Nairobi, les paris sont ouverts. Faut-il que le futur président de la BAD s’approprie l’héritage d’Akinwumi Adesina ou doit-on privilégier la rupture ? Un candidat issu de l’Afrique de l’Ouest aurait-il ses chances malgré la règle tacite d’alternance géographique ? Qui aurait la carrure pour occuper un tel poste ?
Le mandat du
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