Intelligence artificielle : les dessous d’une crispation entre le Maroc et l’Union africaine
Organisé dans la capitale marocaine, le premier sommet africain de haut niveau sur l’intelligence artificielle a laissé entrevoir, en coulisses, des atermoiements et quelques frictions au sein de l’organisation continentale.
![Entrée de la salle plénière principale lors de la deuxième journée de la 37e session ordinaire de l’Assemblée de l’Union africaine, à Addis-Abeba, le 18 février 2024. © Michele Spatari / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4942x0.4445/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/06/jad20240606-mmo-ass-diplo-eco-maroc-ia.jpg)
Entrée de la salle plénière principale lors de la deuxième journée de la 37e session ordinaire de l’Assemblée de l’Union africaine, à Addis-Abeba, le 18 février 2024. © Michele Spatari / AFP
L’événement devait servir d’occasion pour dévoiler les contours d’une stratégie africaine commune en matière d’intelligence artificielle (IA). Organisé à Rabat du 3 au 5 juin par le centre international AI Movement, créé par l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P), en partenariat avec l’Unesco, le forum devait accueillir plusieurs hauts responsables africains.
Parmi eux : Paula Ingabire,
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