La « rupture » promise par Diomaye Faye concernera-t-elle aussi les médias ?
Entre pressions financières, fiscales et politiques, le secteur de la presse vit depuis plusieurs années une crise profonde. L’alternance au sommet de l’État amènera-t-elle le changement attendu ?
![Un kiosque à journaux, à Dakar, le 6 février 2024. © JEROME FAVRE/EPA/MAXPPP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.0825x0.4888/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/07/jad20240607-ass-senegal-presse-fisc.jpg)
Un kiosque à journaux, à Dakar, le 6 février 2024. © JEROME FAVRE/EPA/MAXPPP
Un « coup de grâce » ou un « cadeau d’au revoir ». Lorsque Macky Sall annonce qu’il va effacer les dettes fiscales de toutes les entreprises de presse pour la période antérieure au 31 décembre 2023, les médias se félicitent du geste généreux du président sortant. Nous sommes le 18 mars 2024, moins d’une semaine avant l’élection qui marquera l’arrivée de Bassirou Diomaye Faye au pouvoir. Trois mois
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