Au Niger, « la junte n’aura aucun répit tant que Mohamed Bazoum n’est pas libéré »

Après la levée de l’immunité de l’ancien président, son entourage s’insurge et dénonce un déni de justice. Oumar Moussa, son ancien directeur de cabinet adjoint, répond à Jeune Afrique.

Mohamed Bazoum, président de la République du Niger, dans son bureau à Niamey, lors d’une interview accordée à Jeune Afrique, le 1er mai 2023. © Vincent FOURNIER pour JA

Mohamed Bazoum, président de la République du Niger, dans son bureau à Niamey, lors d’une interview accordée à Jeune Afrique, le 1er mai 2023. © Vincent FOURNIER pour JA

MANON-LAPLACE_2024

Publié le 14 juin 2024 Lecture : 4 minutes.

Ce vendredi 14 juin, la Cour d’État du Niger a levé l’immunité présidentielle dont jouissait Mohamed Bazoum. Près d’un an après la chute de l’ancien président, qui est toujours séquestré par la junte au palais présidentiel, cette décision ouvre la voie à des poursuites judiciaires et à un éventuel procès.

Si, pour l’heure, Mohamed Bazoum n’a pas été inculpé, le président déchu pourrait bientôt

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