Au Maroc, les étudiants en médecine vont-ils boycotter les examens ?
Levée des sanctions contre les grévistes, fixation de dates exceptionnelles pour passer les examens… Le gouvernement marocain propose une sortie de crise. Pas sûr qu’il soit entendu de tous.
![Manifestation d’étudiants en médecine, au Maroc. © AIC PRESS](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4270x0.3697/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/27/jad20240627-mmo-maroc-manifestations-etudiants-medecine.jpg)
Manifestation d’étudiants en médecine, au Maroc. © AIC PRESS
Après plus de six mois de grève des étudiants en médecine dans les neuf facultés publiques du pays, le bras de fer touche-t-il à sa fin ? C’est en tout cas l’objectif du gouvernement marocain, a indiqué Mustapha Baïtas, son porte-parole, qui, le 25 juin, a organisé une conférence de presse pour égrener les mesures prises en ce sens par l’exécutif.
Ces mesures ont été adoptées le 21 juin, à Rabat,
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