Yango, Uber, Heetch… En Côte d’Ivoire, les conducteurs de VTC contrôlés mais pas leurs plateformes
Alors que le prix des courses est désormais soumis à une taxe de 4 %, l’État ivoirien a annoncé des campagnes de contrôle qui viseront avant tout les chauffeurs tout en épargnant les sociétés développant les applications de VTC.
C’est décidément une taxe qui crispe en Côte d’Ivoire. Depuis le 7 octobre, les chauffeurs de véhicules de transports publics utilisant des plateformes de mise en relation en ligne (VTC) sont assujettis à une nouvelle taxe de 4 % sur le prix de leurs courses. Ce prélèvement à la source doit remplacer l’ancien système de patente, que l’État peine à récolter. Il a été intégré à l’annexe de la loi de
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