Ca va mieux pour la SIR
Endettée et lâchée par les banques, obligée d’arrêter ses activités durant une semaine en février, la Société ivoirienne de raffinage (SIR) a obtenu un soutien de l’État, qui a épongé une partie de ses dettes, mais les banques tardent à suivre. Les délais de paiement du raffineur sont passés de 120 à 88 jours (deux à trois cargaisons de pétrole à 80 millions de dollars la cargaison). La SIR veut porter ses marges à 5 dollars le baril, contre 3 dollars aujourd’hui, afin de ramener ses délais à 60 jours et rassurer ainsi les banques.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- AES : pendant que Goïta rêve d’un passeport commun, Emptech lorgne le marché malien
- Fin de cavale pour Claude Pivi, le fugitif le plus recherché de Guinée
- Des prières pour la pluie aux inondations, le Maghreb à l’épreuve de l’eau
- Guinée : les détails de la réincarcération de Claude Pivi
- Au Congo, la construction du plus grand barrage du pays débutera en janvier 2025