Conversation post mortem
« Au moment de mourir, Mahmoud / ton aorte se débat / comme éclate un serpent pourpre… » Ainsi commence le premier des douze poèmes que Breyten Breytenbach adresse à son ami Mahmoud Darwich, mort en août 2008. « Immédiatement après son décès, explique l’écrivain sud-africain, j’ai commencé cette série de poèmes, comme des fragments de la conversation que je poursuivais avec lui. » Composée en afrikaans puis traduite en anglais par l’auteur lui-même, cette ultime conversation paraîtra en édition bilingue (anglais-français) le 4 novembre, chez Actes Sud.
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