Cette semaine dans Jeune Afrique

Dans sa double édition n°2807-08 du 26 octobre au 8 novembre 2014, Jeune Afrique s’intéresse à l’histoire et l’actualité mouvementées de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) du Maroc. Après avoir perdu des plumes, entrainée dans des investisssements hasardeux par son ancien patron, cette « banque du pouvoir » semblait avoir repris du poil de la bête grâce à la restructuration entreprise par Anass Alami.

Mais voilà que celui-ci est rattrapé par une affaire d’escroquerie éclaboussant l’une de ses filiales, la CGI. Jeune Afrique revient sur le parcours du patron du puissant groupe et tente de répondre à cette question : quelle tournure va prendre ce nouveau feuilleton judiciaire qui secoue la sphère économique du royaume ?

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Dans les Indiscrets de cette semaine, le magazine vend la mèche sur le bras de fer entre le cabinet d’avocats américain Orrick et la Banque mondiale qui collaborent tous deux dans le cadre du faramineux projet de barrage hydroélectrique Inga III en RD Congo

Jeune Afrique dévoile aussi les détails du sauvetage du géant de l’acier marocain Maghreb Steel par un important cabinet de conseil international et apporte des précisions inédites sur la confrontation judiciaire entre Dubaï Ports World et Djibouti devant la Cour internationale d’arbitrage.

Dans la section Entreprises et marchés, l’hebdomadaire évoque l’avenir de Compagnie camerounaise de l’aluminium (Alucam) suite à la sortie de son capital du minier Rio Tinto.

Jeune Afrique revient en outre sur le succès de l’industrie de transformation du cacao en Indonésie et sur les leçons que peuvent en tirer les producteurs africains.

Le magazine se penche aussi sur l’attractivité du Ghana auprès des marques internationales. Le pays, où le pouvoir d’achat des ménages ne cesse de croître, s’apprête à accueillir le plus grand mall d’Afrique de l’Ouest.

En section Décideurs, Jeune Afrique dresse le portrait de Guo Tianmin, l’atout diplomatique de Huawei. Ancien ambassadeur dans plusieurs pays d’Afrique, le vice-président de l’équipementier télécoms chinois a conservé un bon carnet d’adresses, qui lui permet de conquérir de nouveaux marchés sur le continent.

En section Finance, le magazine analyse l’attrait des bourses étrangères pour les groupes africains. Les entreprises du continent sont de plus en plus nombreuses à imaginer se lancer à Londres, à Sydney ou à Toronto. Les places locales peuvent y voir une concurrence… ou des occasions de partenariats bénéfiques.

Enfin, retrouvez cette semaine un dossier spécial Pétrole et gaz. Jeune Afrique s’intéresse à la montée en puissance des compagnies privés au Nigeria. Le temps où les multinationales régnaient sans partage sur l’or noir nigérian semble terminé. Poussées par le gouvernement, les juniors locales rachètent des champs et commencent à compter sur l’échiquier pétrolier.

Au programme également : une analyse de la stratégie pétrolière du Gabon, une interview de Catherine MacGregor, présidente Europe et Afrique de Schlumberger ainsi qu’un retour sur les dysfonctionnements du « gazoduc de l’Afrique de l’Ouest » et les ambitions africaines de la compagnie norvégienne Statoil

Sommaire

Economie
Maroc – Grandeur et décadence de la CDG

Indiscrets

Entreprises et marchés
Industrie – Qui veut suivre Alucam dans sa nouvelle stratégie?
Agro-industrie – L’Afrique produit du cacao, l’Indonésie, elle, le transforme
Distribution – Accra voit le shopping en version XXL

Décideurs
Télécoms – Guo Tianmin, l’atout diplomatique de Huawei

Finance
Cotations – Pourquoi les groupes africains préfèrent les Bourses étrangères

Dossier Pétrole et gaz