[Tribune] La CPI est-elle finie ?
L’acquittement de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé vient conforter ceux qui dénoncent une justice internationale par trop politisée et peu soucieuse du droit, selon l’avocate Samia Maktouf.
![La façade de la Cour pénale internationale à La Haye. © Mike Corder/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/10/12/sipa_ap21976518_000001.jpg)
La façade de la Cour pénale internationale à La Haye. © Mike Corder/AP/SIPA
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Samia Maktouf
Samia Maktouf est avocate, inscrite aux barreaux de Paris et de Tunis, et conseil près la Cour pénale internationale.
Publié le 21 janvier 2019 Lecture : 4 minutes.
L’un des procès les plus emblématiques de la Cour pénale internationale (CPI) a prouvé une nouvelle fois que cette juridiction n’est pas à la hauteur des attentes placées en elle, tant par le public que par les justiciables, et que son fonctionnement même pose question.
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