Centrafrique – Décentralisation, justice et nouveau gouvernement : ce que contient l’accord de paix
Le 6 février à Bangui, le gouvernement et les groupes armés centrafricains ont paraphé l’« accord politique pour la paix et la réconciliation ». En 43 pages, ils s’engagent dans un processus de sortie de crise, axé sur le désarmement, la décentralisation et la justice. Jeune Afrique a analysé le document.
![Faustin Archange Touadéra, signe l’accord de paix, le 6 février 2019 à Bangui. © Creative Commons / Minusca](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/02/08/46962478342_bfe348469a_z.jpg)
Faustin Archange Touadéra, signe l’accord de paix, le 6 février 2019 à Bangui. © Creative Commons / Minusca
Faut-il y croire ? Le gouvernement et les groupes armés de Centrafrique ont signé, après des pourparlers à Kharthoum, au Soudan, du 24 janvier au 5 février, un « accord politique pour la paix et la réconciliation en République centrafricaine » (voir la totalité du document et de ses annexes en fin d’article). Il s’agit du huitième accord de ce type depuis 2012.
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