Azito versus Atinkou, le match des centrales thermiques en Côte d’Ivoire
Alors que Globeleq a lancé, au début du mois de mars, les travaux d’extension de la phase IV de la centrale d’Azito, JA fait le point sur les deux grands projets menés par la Côte d’Ivoire pour développer les capacités énergétiques du pays.
![La centrale d’Azito en Côte d’Ivoire, dont Globeleq envisage d’ajouter 250 MW à sa capacité de production actuelle de 440 MW. © Globeleq](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/30/azito12-e1572435844734.jpg)
La centrale d’Azito en Côte d’Ivoire, dont Globeleq envisage d’ajouter 250 MW à sa capacité de production actuelle de 440 MW. © Globeleq
Depuis 2011, les différents projets énergiques développés en Côte d’Ivoire ont permis d’atteindre une puissance installée de 2 229 MW, soit une augmentation de la capacité de production de 60 % à fin 2019.
L’électricité ivoirienne est dépendante de plus de 80 % des centrales thermiques réparties entre Azito, Ciprel, Aggrekko et celle de Vridi.
« Tous ces projets visent à consolider la vision du gouvernement de faire de la Côte d’Ivoire, un hub énergétique. Nous visons aussi un mix énergétique de 42 % en énergie renouvelable à l’horizon 2030 », a confié à JA le ministre du Pétrole, de l’Énergie et des Énergies renouvelables, Abdourahmane Cissé.
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