Certains caractères sexuels des anophèles joueraient un rôle dans leur capacité à infecter l’homme avec le parasite Plasmodium falciparum – qui cause le paludisme. Et les moustiques femelles ne seraient plus les seules en cause, les mâles auraient leur part d’influence dans le processus de contamination.
Son traitement contre le paludisme, qui mêle médecine ancestrale et médecine moderne, fait mouche contre le moustique. Et vaut à cette scientifique chinoise un prix Nobel.
L’Onusida vient de révéler des progrès exceptionnels dans la lutte contre le VIH. Mais la route reste encore longue jusqu’à l’élimination totale du virus, prévue pour 2030.
Problème majeur de santé publique, l’hépatite B touche 8 % de la population de l’Afrique subsaharienne. Diagnostic difficile, traitement coûteux, plusieurs raisons expliquent la situation.
Connue pour ses propriétés anti-inflammatoires, immunologiques et antiallergiques, la tetrandrine pourrait bien aussi stopper le virus Ebola dans son processus d’infection humaine. C’est ce que rapporte une étude germano-américaine parue fin février dans le journal « Science ».